Après cet essai, Caroline décide de s’intéresser à l’histoire de son quartier. Tout d’abord cet intérêt prend la forme d’un court-documentaire « Mémoires d’un quartier d’ouvrier ». Après une dizaine de projections, elle décide de prolonger l’aventure boccassienne en réalisant un long-documentaire sur ce quartier qui a bercé son enfance. Trois ans de tournage donnent finalement lieu à un documentaire de plus d’une heure présenté en avant-première à la Licorne. Les Mémoires Boccassiennes est une oeuvre qui gagne en popularité et qui séduit par son authenticité.